La moitié des participants étaient partis, puisqu'il était déjà un peu tard, mais cela ne nous a pas empêché de nous amuser.
Pour ce compte rendu, nous avons d'abord mis chaque texte dans l'ordre d'intervention des participants, puis le classement à la fin.
C'est parti !KhalilosC'est mon histoire je ne peux pas la voir.
Mon pire cauchemar.
Mais c'est pas grave j'ai le pouvoir...
De la faire évoluée mais surtout pas vers le noir.
Et plutôt vers la gloire !
Alors bonsoir.
Je crois que ça n'étonne personne...
Dark-sacrificeMon pire cauchemar
Quand je te vois monstre , j'ai peur de toi.
Quand je ne te vois plus ,sa ne me rassure pas non plus.
Et quand je t'imagine ,j'ai peur de dormir.
Mais quand je t'oublie tout va mieux
KazhNon, mon pire cauchemar n'est pas de devenir petit comme Perceval
Ou encore comme Guillaume, me retrouvé avec une voie vaginal
Moi, mon pîre cauchemar.. Ce serait de me faire transformé par Malvadar!
Mais pas n'importe quel transformation, U ne transformation en boufton
Car oui, tout c'qui est petit est mignon, mais quoi de plus con qu'un boufton?
C'est sur ces paroles délicates Que je vais retrouver ma barre de kitkat
Guillaume(tte)-FireOn m'a dit qu'il fallait que je planche,
Sur un écrit avec de l'encre blanche,
En parlant de mon pire cauchemar,
J'ai tout de suite pensé au noir :
Depuis tout petit,
Quand je suis dans mon lit,
Et que ma mère éteint la lumière,
Je fais moins le fier.
Chaque nuit,
Le même homme me hante,
Sans aucun bruit,
Dans le cœur, un couteau il me plante.
Jusqu'à tout à l'heure,
L'homme n'était autre que Gunner,
Mais depuis que j'ai rencontré Malvadar,
Je suis certain que ce sera lui ce soir.
Après m'avoir changé de sexe,
Sans que je ne me vexe,
Il ne fait aucun doute,
Que je le recroiserai sur ma route.
J'espère quand même,
Que la malédiction s'arrêtera,
Pour que tous les gens qui m'aiment,
Ne s'en souviennent pas.
Black-CartSilence, s'il vous plaîtLa terreur, qui de son emprise
Vous prend à la gorge et vous paralyse,
La terreur les accompagne partout où ils passent
Et leur livre la populace
Désarmée, apeurée, effrayée
Telle un petit enfant troublé.
Elle ne peut se défendre
Et ils ne s'arrêtent que pour fendre
Les imprudents de chez nous,
Ou pour leur ouvrir le cou.
Ils arrivent pour vous occire
Tous, chatons, tremblez d'ouïr
Les histoires racontées
Par les survivants ayant croisé,
La route des Vampires
Tremblez, chatons, tremblez d'ouïr
Les méfaits perpétrés
Sous la lune voilée
Par les blafards, les sanguinaires
Ceux qui vous mordent par derrière
Chatons, craignez le rire
Le rire cruel des Vampyres.
MalicyusJe ne te reconnais pas,
Toi qui ne ressemble à rien,
Pourtant tu te tiens là,
Dois-je faire le pantin ou encore le lutin ?
Je suis faible pour toi ,
Et pourtant tu cherche encore la guerre,
Je me las de ce toit,
Qui cherche dur comme de la pierre,
C'est donc toi mon cauchemard,
Toi qui est mon fable,
Ponglé dans le noir,
A effrayer les plus faibles,
Cauchemard, Tu ne sers à rien !
Appius-ManiliusGuuuuuu ceeeeerveaaauuuu
maaaaagneerrrrcreveaaauuu
guuuuuu
gguguguuuuuu
mangeeeeeer
baaaaaverrrrr
manger creeeeeveaaaau
cceeeeeeeeeeeeerrrrrrvveeeeeaaaaaau
Appius-Manilius bave pour saluer le publicVentrufMon pire cauchemar vous dites ?
Êtes-vous seulement sérieux ?
Croyez-vous que je vais me soustraire à ce rite,
Tandis que l’heure voudrait plutôt que je file au pieu ?
Aujourd’hui, dit-on, c’est la fête aux enfants, c’est Halouine,
Et je crois être jugé par deux petites fouines,
Dont une sacrée dégénérée que je dois contenter,
Une disciple d’Écaflip plutôt barrée,
Qu’il conviendrait d’éviter de faire couiner.
Aussi aura-t-elle son poème ce soir !
Et, moi qui jusqu’ici broyais du noir
À l’idée de manquer de rimes à vous faire boire,
Je crois avoir trouvé quel fut mon pire cauchemar.
Je m’en souviens, c’était en Flovor dernier,
Je tentais alors de sauver le monde d’un scabreux danger,
Et cherchais des volontaires pour m’y aider,
Lorsqu’enfin je tombai sur Ecawotte au gré d’un sentier.
Ainsi, voici donc quel fut mon pire cauchemar :
Alors que les altérations temporelles étaient perceptibles jusqu’en Brâkmar,
J’avais confié le destin de Terra Amakna à cette arriérée.
Par Domen le Sombre, je vis littéralement ma vie défiler !
Et pourtant, Mesdames, Messieurs, je vous prie de bien y croire,
Ce fut bien Ecawotte qui nous trouva une échappatoire !
J’en ai donc fini avec cet exercice bucolique,
Laissez-moi vous dire que je n’aime pas les critiques.
Et que j’ai donc naturellement tout prévu,
Si par malheur vous commettiez une bévue.
Lady-GagaFraille-HeureDans mon illuste inconscient,
Le cauchemar est omniprésent,
Que ce soit dans le passé comme dans le présent,
Celui-ci est invariable à chaque temps.
Aussi différente que je suis,
Dans la vie quotidienne mon être est incompris,
On me juge comme une personne dangereuse,
Car ma vision du réel est parfois trompeuse.
Dès mon plus jeune âge,
Je fus stéréotypé d'enfant pas sage,
Pourtant chaque jour en quête d'apprentissage,
Telle une paysanne cultivant sa terre au Moyen-Age.
Je fus enfermée dans une cellule à demi-clos,
On s'étonnait d'ailleurs que je devins sot,
Parlant à des êtres invisibles,
Mes actions comme mes paroles étaient imprévisibles.
Le gardien qui me surveillait chaque jour,
A mes demandes il faisait le sourd,
Mais quant la fin de journée arrivait et le son de réveil,
Là il avait la fine oreille.
A croire que j'étais réellement invisible,
Comprenant ainsi pourquoi ma voix n'était plus audible,
Mais un bruit coupa ma pensée,
Dans ma cellule arriva une nouvelle condamnée.
La précédente s'était échappée,
Durant la fin de l'été,
Je ne savais pas si il fallait la suivre,
Ou en profiter pour boire et finir ivre.
Oui car l'ivresse est une faiblesse,
A travers celle-ci on livre tout ses secrets sans grande finesse,
En revanche j'avais fait preuve d'une brillante sagesse,
J'avais noté du moins essayé, mes révélations,mais me relire était une prouesse.
Puis en regardant ce livre j'eut une vision de mon enfance là où tout se crée,
Surtout dans la cour de récré,
Me rappelant ainsi de mes amis,
Où nous étions insouciants ne sachant l'avenir de notre vie...
Sans doute les plus beaux moments,
Où nous étions encore sous la responsabilité de nos parents,
Là je venais d'avoir vingt ans,
Et j'allais encore rester là un bon bout de temps.
Dans mes écrits on pouvait lire le nom du garçon que j'aimais,
Et c'était pour lui que dans cette situation je me retrouvais,
Ayant besoin de kamas, pour lui j'avais braqué une banque,
Et avait dissimulé l'argent dans ma planque.
Comme quoi l'argent ne fait pas que le bonheur,
Parfois il peut attirer de nombreux malheur,
Mais pour moi je n'avais aucun regret,
Je savais que notre amour ne pouvait se briser.
Il était aussi solide que ces barreaux de prison,
Où sur lequels chaque jour je gravé son nom...
Voyant mon amour allongé dans un bois,
Il était ivre mort, et j'esperai avoir tort...
C'est alors que je me suis dit quand est-ce que de ce cauchemar je ressors ?
Puis une nouvelle vision arriva,
Celle de mon tombeau en bois,
Sur lequel se dressa une fleur,
Qui pour moi avait une immense valeur,
Celle-ci commença à jaunir, et à palir
Ou a pourrir je n'en ai qu'un vague souvenir...
Puis elle vint à s'ouvrir et me dit :
Le désir de fleurir,
Au plus profond de moi se fait sentir,
Goûter au plaisir sucré de mon avenir,
Et peut-être qu'un jour on pourra m'offrir...
Je ressens la douceur du soleil éclaireur,
Sa brûlante chaleur enflamme mes malheurs,
Cette chose me regarde durant des heures,
Je ressens la douceur du soleil éclaireur,
Mais quand va-t-elle prendre mon coeur ?
Je suis consciente que mes pétales ne sont pas fortes,
Sur un élan d'amour le vent m'emporte,
Une fois la tempête terminée je retombe au sol,
Et c'est là que la triste réalité m'isole.
Encore une nouvelle année écoulée,
Où le bonheur auprès de moi s'est fait discret,
Mes pétales perdent de leur couleur,
Peut-être à cause de mon coeur qui est en pleure ?
Je pourrais décrire le son des flots que déverse la pluie,
Identique à mes larmes lorsque ma pétale se noircit,
Une partie de moi qui se meurt dans une symphonie,
Dont le thème principal est la merveilleuse mélancolie.
Je fais la sourde oreille aux avances de l'hortensia,
Qui souhaite la même vie que moi,
Elle ne comprend pas que c'est pour son bien,
Que d'avoir ma vie ne rime à rien.
Je me suis endormie un beau matin,
J'ai rêvassé de mon éventuel avenir lointain,
Passant ma vie au côté d'un être au beau teint,
Hélas mon rêve s'est noyé dans mon chagrin.
Car le noir est préférable au blanc, pour ma part...
D'habitude, quand on triche, on ne le dit pas !
Dark-ImaLe nettoyage c'est mon image
Moi sans marie , je suis seul au lit
Hallouine me sourit , et se moque et dit
Veille débrit
(Bon, heureusement que Black, et le Iop de service n'avaient plus de patates à balancer)
On ressent bien tout ce qui est peur, surtout avec le rythme de lecture, et le vocabulaire employé.
D'autant plus que ça parle de petits chatons qui tremblent.
Perceval est juste déçu que ce ne soit pas lui son pire cauchemar. Il a dit qu'il va devoir se montrer un peu plus sadique.
Le texte est bien dans le thème, et n'est pas trop court.
En revanche, la chute est un peu bizarre.
Perceval ajoute qu'il n'est pas petit, c'est tout le monde qui a grandi, selon lui.
C'est très très court, mais c'est tout de même bien pour une première fois.
Le texte est extrêmement court, et donc, est peu développé. Il n'y a pas non plus de rimes.
On n'a pas trouvé grand chose à se mettre sous la dent.
On n'a rien compris.
C'était très long.
Elle avait pris beaucoup de libertés par rapport au sujet.
Mais son texte était travaillé, donc on n'a pas voulu la pénaliser.
Avec une bonne interprétation, il aurait pu être premier, mais le concours est réservé aux humains.
Bon, même si on s'est tous un peu endormis pendant que Lady-Gaga récitait son texte, Malvadar-Jandric a pu rattraper un peu le coup.
C'était bien animé, malgré l'heure, et nous sommes contents que de nouvelles têtes se soient essayés à cette prime.
- L'équipe du Domen-News.
- Malvadar-Jandric et son assistant pour nous avoir supportés.
- A Guillaume-Fire, parce qu'on s'est bien foutu de lui pendant cette soirée.